Issa Keita : « J’ai des pistes en Inde et en Egypte »

Nous avons eu une conversation avec le virevoltant ailier international malien Issa Keita. L’enfant est issu du centre de formation de l’académie Jean Marc Guillou de Bamako. Ce magnifique centre réputé pour la formation de joueur de qualité à d’ores et déjà offert plusieurs cadres du football malien et à l’international.

Issa Keita est l’un des fruits de la deuxième promotion. À juste titre, la dite promotion regorge désormais les cadres du football malien à l’image de Yves Bissouma, d’Amadou Haïdara, de Cheick Doucouré, de Rominigue Kouame Guessan et par ne citer que ceux ci.

Après quelques années au Real Bamako, Issa Keita est actuellement au Togo, dans les rangs de l’ASKO de Kara pour une saison. Pur académicien, assoiffé de trophée, très percutant ailier droit, capable d’assurer côté gauche, il  revient sur son aventure au CHAN 2022 et les nouvelles perspectives d’avenir pour sa carrière professionnelle. 

Bonjour comment allez-vous ? J’espère que tu vas bien.

Oui Alhamdoulilah, je vais très bien Dieu merci.

Comment vas tu ? Est ce que tu peux te présenter ?

Je vais très bien. Je suis Issa Keita, je suis un couloir polyvalent. J’ai 25ans j’ai été formé à l’académie Jean Marc Guillou ( JMG ) à Bamako de 2012 et 2016. Je suis passé par plusieurs clubs.

Parle-nous un peu de votre parcours professionnel

J’ ai joué avec Strasbourg entre ( 2016-2017 ) et après j’ai fait une saison au réal de Bamako entre ( 2021-2022 ) où j’ai été sélectionné avc Nouhoum Diane pour le CHAN. En 2022 je suis allé au Liban, j’y ai fait une saison. Cette année je suis ici au Togo avec l’ASKO de Kara pour une saison, voilà un peu mes parcours.

Après le CHAN 2022 on a perdu de tes nouvelles

Oui justement, j’ai pratiquement fait le tour du monde. Ainsi va la vie du footballeur, ça fait partie du métier.

Qu’est-ce qui explique ta perte de visibilité ?

Bon, c’est le football et peut-être, la direction du vent, mais on s’accroche bien Alhamdoulilah.

Puisque tu parles de destination, peut-on savoir la nouvelle aventure ?

Pour l’instant on ne peut pas dire grand chose. Vu que nous ne sommes pas en période de mercato, mais on a parlera le moment venu.

Mais, est ce qu’il y a des chances pour revenir en lumière ? Notamment dans un club de premier plan ?

Absolument, nous attendons l’ouverture du mercato. Nous sommes en discussion pour le moment. Il faut attendre tout à coup.

Quels sont les clubs qui ont manifesté leur intérêt ?

Nous sommes en discussion très intéressante et très avancée avec plusieurs clubs. Laissons au temps pour pouvoir les découvrir.

Est ce que se sont des clubs qui peuvent te permettre de quitter dans l’ombre pour revenir à la lumière ?

À mon avis oui, parce que c’est des clubs de l’élite du football dans leur niveau. Je reprendrai par l’affirmatif.

Où exactement ?

Bon, j’ai des pistes en Inde et en Egypte. Tous ses clubs évoluent en première division. Mais pour l’instant je ne vais pas encore identifier. Il faut savoir juste que c’est des clubs en première division.

Puisse qu’on n’en est pas encore filtré le nom de des équipes, on verra bien au prochain mercato.

Justement, attendons l’ouverture du mercato. Entre temps, mon agent et moi allons bien gambergé. On verra bien ce qui va s’en suivre.

Quel est l’état actuel de votre club ?

On vient de démarrer le championnat, on est dans une bonne posture. On va s’accrocher par rendre honneur à nos supporters et à l’encadrement technique.

 Quel est ton objectif personnel ?

Je reste focus sur le championnat. Après toutes les autres portails s’ouvriront spontanément.

Quel souvenir garde tu de la sélection nationale du Mali au Chan ?

C’était une fierté pour moi. C’est comme un rêve qui s’est déroulé et réaliser. Depuis tout petit je rêvais de ça, jouer pour mon pays. Je l’ai fait sa reste un honneur et un souvenir impérissable pour moi.

Merci beaucoup pour toutes vos informations. Je suis vraiment très content.

Je vous en prie, c’est normal.