Après El Bilal Touré (parti à UD Alméria), Abdoulaye Gory et Antoine Sekongo, un quatrième pensionnaire de l’académie Afrique Football d’Elite (AFE), le jeune avant-centre malien Amadou Koné (18 ans), vient de déposer ses valises au Stade Reims. Un club où il retrouvera d’autres compatriotes, à l’image de Kamory Doumbia, Thiémoko Diarra, ou encore les franco-maliens Cheick Keita et Mamadou Diakhon. Le joueur se sent bien entouré, comme au sein d’une famille au Stade de Reims.
Entretien
Vous venez de signer votre premier contrat professionnel en faveur du Stade de Reims. On peut dire que c’est parce que le club donne plus de visibilité aux jeunes joueurs ?
Effectivement ! C’est un très grand club historique en France et même en Europe. En plus, le Stade de Reims donne la chance aux jeunes footballeurs d’exprimer tout leur potentiel, nous permet de montrer notre talent au monde entier. Une équipe qui fait beaucoup confiance aux jeunes footballeurs talentueux. J’espère aussi saisir ma chance au Stade de Reims et aider le club à atteindre ses objectifs.
Est-ce que l’évolution fulgurante d’El Bilal Touré au Stade de Reims avant de rejoindre Almeria UD en Espagne a un peu pesé sur votre décision ?
Bon, on peut dire plus ou moins. El Bilal Touré est un grand frère qui nous a montré en quelque sorte la voie à suivre. Il est également un ancien pensionnaire de l’académie Afrique Football d’Elite. Nous avons tous constaté que sa signature au Stade de Reims lui a permis d’être très vite vu sur le plan international. Et jusqu’au jour d’aujourd’hui, on le voit tous progresser de jour en jour. En tant que jeune joueur qui devrait bientôt découvrir le monde professionnel, je rêve de marcher sur ses traces ou faire mieux que lui.
Comment se passe votre nouvelle vie avec vos compatriotes, qui évoluent déjà au sein du Stade de Reims, à l’image de Kamory Doumbia, Thiémoko Diarra, Abdoulaye Gory ou encore Antoine Sekongo ?
Tout va parfaitement bien avec tous mes compatriotes ici. On peut dire que c’est même très bien. J’ai l’impression d’être en famille. Le Stade de Reims, c’est comme une famille pour moi. Je suis bien entouré et mes prédécesseurs me donnent des conseils à chaque fois que l’occasion se présente. Content d’avoir cette faveur divine et j’espère bientôt prendre mon envol ici et découvrir la Ligue 1 française.