Selon des sources exclusives d’Africafoot, un dénouement majeur intervient dans le dossier Diabaté. Après plusieurs semaines de tensions et de revirements, comme révélé par nos soins, Al Ahly et le GAIS ont finalement trouvé un accord définitif pour le transfert de l’attaquant ivoirien Ibrahim Yalatif Diabaté. Le feuilleton, qui avait suscité bien des inquiétudes au Caire comme à Göteborg, connaît ainsi un tournant décisif.
Un accord scellé : 1,6 million de dollars en deux paiements
D’après nos informations, le transfert a été fixé à 1,6 million de dollars, réparti comme suit :
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600 000 dollars au moment de la signature,
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1 million de dollars en septembre 2026.
Cet accord survient après que le GAIS a brusquement augmenté ses exigences financières ces derniers jours, bouleversant totalement les discussions et menaçant de faire capoter la transaction.
Un obstacle inattendu : Achraf Dari bloque l’officialisation
Alors que tout semblait prêt pour finaliser l’arrivée de Diabaté, un nouveau problème freine désormais Al Ahly. Selon les informations recueillies par Africafoot, le club égyptien a sollicité un délai supplémentaire avant la signature, en raison d’un dossier épineux concernant le défenseur marocain Achraf Dari.
Parcours d’Achraf Dari, coûts des transferts, rémunération et plus
Sous contrat avec Al Ahly jusqu’au 30 juin 2028, le joueur refuse de résilier à l’amiable et réclame l’intégralité de ses indemnités contractuelles, comme révélé en exclusivité par Africafoot. Cette situation empêche le club de libérer une place dans la liste des joueurs étrangers, condition indispensable à l’intégration administrative de Diabaté.
GAIS fixe une date limite : le temps presse pour Al Ahly
Le club suédois impliqué dans l’opération a, de son côté, fixé la fin de cette semaine comme deadline pour finaliser la transaction. Sans avancée rapide du côté d’Al Ahly, le GAIS pourrait reconsidérer d’autres pistes, notamment celles de clubs du Golfe et du RC Lens, intéressés par Diabaté ces derniers mois.
Cette situation place Al Ahly dans une équation délicate : conclure l’arrivée d’un attaquant très attendu, tout en gérant un litige contractuel avec un international marocain déterminé à défendre ses droits.
Le cas Achraf Dari illustre parfaitement les limites du mercato en zone africaine, où les contraintes administratives et contractuelles peuvent, en quelques heures, renverser le cours d’une négociation avancée.
Top 5 des Ivoiriens qui affolent les compteurs… et le mercato
L’issue dépend désormais de la capacité des dirigeants égyptiens à trouver un accord rapide avec leur défenseur. Dans le cas contraire, ils s’exposent à voir s’évaporer une opération qu’ils pensaient enfin maîtriser.




